24 février 2010
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13:51
NOUS SOMMES NOMBREUX à les regarder faire leur cinéma, jouer les scandalisés, les hommes révoltés devant la misère, les licenciements, le démantèlement des services
publics.
NOUS SOMMES NOMBREUX également à nous dire qu’il faut un sacré culot et un profond mépris pour la mission que le peuple leur a confié pour oser parler ainsi et être en même temps acteur et complice de la casse sociale en votant des lois et des décrets offrant autant de libertés au monde de la finance, responsable du chaos.
Je vous invite à vous renseigner sur ce qu’est l’accord global du commerce des services, qu’ Europe écologie et le parti socialiste ont voté en signant le Traité de Lisbonne, défendu par Sarkozy.
Comment peuvent ils encore claironner qu’ils veulent défendre les services publics alors que l’AGCS organise leur mort ?
SEULEMENT, conclure par un « Tous
pourris », est-ce qui les arrange.
Lorsqu’on croit que tout est pourri, on pense donc que rien n’est possible. PENSER QUE L’ON N’Y PEUT RIEN CHANGER : voilà ce qui les intéresse. Ils rêvent que nous les laissions faire, que nous les laissions détricoter notre monde pour le faire à leur image, avec leurs privilèges, leurs avantages et nos inconvénients.
Voter en masse pour une alternative à gauche est le seul moyen de les faire plier.
J’ai souvent le sentiment de me répéter en disant qu’on ne peut pas en vouloir aux responsables, si nous ne prenons pas de responsabilités.
Le monde sera ce que nous en ferons, si nous ne voulons plus qu’il leur ressemble, ne les laissons plus faire.
Je ne pense pas que le capitalisme soit moralisable.
Même si un entrepreneur partait avec des saines intentions, il serait bien vite obligé, s’il se trouve sur un secteur concurrentiel, d’oublier ces valeurs et de se plier à la loi du marché s’il ne veut pas se faire écraser par ses concurrents.
Je ne sais pas faire avec l’injustice, je n’arrive pas à composer, à fermer les yeux ou ouvrir mon parapluie en souhaitant que cela ne me tombe pas dessus. Se résigner en se disant le monde est ainsi fait n’est pas dans mon mode de fonctionnement.
J’ai besoin d’agir, de chercher les moyens de réparer, d’améliorer.
Parmi les personnes qui disent en avoir marre de payer pour les autres, marre de voir l’état
encourager l’assistanat, combien auraient le moyen de se payer l’accès aux services si tout était privatisé.
Le calcul est pourtant vite fait.
Qui pourrait se payer une journée de chimio, sans service public de la santé Combien d’entre nous auraient encore accès à la protection santé ?
Croyez-vous que les mutuelles prendraient réellement tout en charge, combien faudrait t-il payer pour être bien assuré ?
Et que faire de ceux qui n’auraient plus d’aide où d’assistance médicale car trop pauvre pour se la payer ? Les laisser se dégrader ?
Si ces personnes se dégradent, il faut toutefois imaginer qu’à un moment, c’est l’état de santé du pays qui se dégradera, et accepter qu’en croisant dans la rue des personnes en mauvaise santé, nous soyons davantage exposés aux maladies qu’actuellement.
La démonstration est la même pour l’éducation.
Faire de l’école de la république, l’école des laissés pour compte, c’est encourager la violence.
Si nous ne permettons plus à chacun d’avoir accès à la connaissance, si nous ne mettons pas tout en œuvre pour favoriser la compréhension du monde, l’acceptation des autres... Nous risquons à très court terme de voir certaines personnes perçues comme des privilégiés devenir la cible et le défouloir de certains laissés pour compte.
Ne pensons surtout pas que c’est un système sécuritaire qui nous protégera de la violence, contre la colère aucun mur n’est assez haut, et personne ne souhaite vivre dans une forteresse par peur des autres. Circuler librement est le souhait et le droit de tous.
Chaque jour on essaie de nous faire penser que «
Nous » n’avons plus les moyens d’assurer la santé pour tous, les transports pour tous, l’éducation pour tous... Dans leur système de pensée où tout doit être rentable faute de perdre sa raison
d’être, cela peut se comprendre, mais :
Un malade doit-il être rentable ?
Un enfant doit-il être rentable ?
Un étudiant doit-il être rentable ?
De l’argent il y en a, il n’y en a même jamais eu autant.
Le problème qu’il refuse de voir, c’est la plus juste répartition des richesses produites.
Lorsqu’on commence à réfléchir à ce problème, il y a soudainement beaucoup plus de solutions que ce qu’on nous avait laissé envisager.
L’individualisme est une mauvaise solution, nous sommes tous enfermés sur la même planète et nous devons donc réfléchir à des solutions collectives.
NOUS SOMMES NOMBREUX également à nous dire qu’il faut un sacré culot et un profond mépris pour la mission que le peuple leur a confié pour oser parler ainsi et être en même temps acteur et complice de la casse sociale en votant des lois et des décrets offrant autant de libertés au monde de la finance, responsable du chaos.
Je vous invite à vous renseigner sur ce qu’est l’accord global du commerce des services, qu’ Europe écologie et le parti socialiste ont voté en signant le Traité de Lisbonne, défendu par Sarkozy.
Comment peuvent ils encore claironner qu’ils veulent défendre les services publics alors que l’AGCS organise leur mort ?

Lorsqu’on croit que tout est pourri, on pense donc que rien n’est possible. PENSER QUE L’ON N’Y PEUT RIEN CHANGER : voilà ce qui les intéresse. Ils rêvent que nous les laissions faire, que nous les laissions détricoter notre monde pour le faire à leur image, avec leurs privilèges, leurs avantages et nos inconvénients.
Voter en masse pour une alternative à gauche est le seul moyen de les faire plier.
J’ai souvent le sentiment de me répéter en disant qu’on ne peut pas en vouloir aux responsables, si nous ne prenons pas de responsabilités.
Le monde sera ce que nous en ferons, si nous ne voulons plus qu’il leur ressemble, ne les laissons plus faire.
Je ne pense pas que le capitalisme soit moralisable.
Même si un entrepreneur partait avec des saines intentions, il serait bien vite obligé, s’il se trouve sur un secteur concurrentiel, d’oublier ces valeurs et de se plier à la loi du marché s’il ne veut pas se faire écraser par ses concurrents.
Je ne sais pas faire avec l’injustice, je n’arrive pas à composer, à fermer les yeux ou ouvrir mon parapluie en souhaitant que cela ne me tombe pas dessus. Se résigner en se disant le monde est ainsi fait n’est pas dans mon mode de fonctionnement.
J’ai besoin d’agir, de chercher les moyens de réparer, d’améliorer.
Parmi les personnes qui disent en avoir marre de payer pour les autres, marre de voir l’état

Le calcul est pourtant vite fait.
Qui pourrait se payer une journée de chimio, sans service public de la santé Combien d’entre nous auraient encore accès à la protection santé ?
Croyez-vous que les mutuelles prendraient réellement tout en charge, combien faudrait t-il payer pour être bien assuré ?
Et que faire de ceux qui n’auraient plus d’aide où d’assistance médicale car trop pauvre pour se la payer ? Les laisser se dégrader ?
Si ces personnes se dégradent, il faut toutefois imaginer qu’à un moment, c’est l’état de santé du pays qui se dégradera, et accepter qu’en croisant dans la rue des personnes en mauvaise santé, nous soyons davantage exposés aux maladies qu’actuellement.
La démonstration est la même pour l’éducation.
Faire de l’école de la république, l’école des laissés pour compte, c’est encourager la violence.
Si nous ne permettons plus à chacun d’avoir accès à la connaissance, si nous ne mettons pas tout en œuvre pour favoriser la compréhension du monde, l’acceptation des autres... Nous risquons à très court terme de voir certaines personnes perçues comme des privilégiés devenir la cible et le défouloir de certains laissés pour compte.
Ne pensons surtout pas que c’est un système sécuritaire qui nous protégera de la violence, contre la colère aucun mur n’est assez haut, et personne ne souhaite vivre dans une forteresse par peur des autres. Circuler librement est le souhait et le droit de tous.

Un malade doit-il être rentable ?
Un enfant doit-il être rentable ?
Un étudiant doit-il être rentable ?
De l’argent il y en a, il n’y en a même jamais eu autant.
Le problème qu’il refuse de voir, c’est la plus juste répartition des richesses produites.
Lorsqu’on commence à réfléchir à ce problème, il y a soudainement beaucoup plus de solutions que ce qu’on nous avait laissé envisager.
L’individualisme est une mauvaise solution, nous sommes tous enfermés sur la même planète et nous devons donc réfléchir à des solutions collectives.
Franck Vandecasteele
Candidat du Front de Gauche Nord Pas de Calais ...
Auteur compositeur interprète
Chanteur de Marcel et son orchestre
Nous n'avons plus les moyens
envoyé par marceletsonorchestre. - Regardez d'autres vidéos de musique.
( trouvé sur estedevo , le vide poche du camarade dessinateur Babouse )
Perso, j'applaudis et je signe ... des 2 poings ... et c'est le sens de mon appel à manifester massivement contre le projet de fusion de l'Hôpital public avec une
clinique privée , à Brive . ce Jeudi 25 Février , à 17h30 place de la guierle ...
et ce sont les idées que nous voulons défendre en soutenant
la liste Limousin terre de Gauche,

Réunion Publique
le 25 février à 20 heures ,
salle polyvalente à Malemort
Développer les services publics , un choix de société
avec Christian AUDOUIN ( PCF ) , Norbert NEYRET ( PG ) Véronique MOMENTEAU ( NPA ) et quelques autres
et ce sont les idées que nous voulons défendre en soutenant
la liste Limousin terre de Gauche,

Réunion Publique
le 25 février à 20 heures ,
salle polyvalente à Malemort
Développer les services publics , un choix de société
avec Christian AUDOUIN ( PCF ) , Norbert NEYRET ( PG ) Véronique MOMENTEAU ( NPA ) et quelques autres