22 novembre 2009
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17:23

La mêre Bachelot et le Duc des Coujoux veulent marier de force le Centre Hospitalier de Brive avec la Clinique Saint Germain ... On croirait du Moliére , ce vieux barbon hors d'usage courant aprés la dot de la jeune pupille ... Le Duc des Coujoux envoie ses gens pour rabrouer les tenants de la jeune pucelle . Bon, n'empéche que le mariage forcé, c'est mal ...
Vous me direz "toi t'es qu'un vilain délinquant de l'anti-france , comment on peut te faire confiance ?" ... Ben , moi j'ai jamais demandé à personne de me croire sur parole d'évangile , chuis bien trop mécréant pour ça ...
Donc pour ceux qui savent pas trop quoi penser de cette histoire de mariage forcé , et les autres ...
DEBAT PUBLIC
LE 24 NOVEMBRE 2009 à 20 h
Salle Polyvalente de Malemort
(DERRIÈRE LA MAIRIE)
(la municipalité de brive n'ayant aucune salle de libre, (dixit), un mardi soir ?!)
En présence de
Paul CESBRON
(MÉDECIN ET MEMBRE DE LA COORDINATION NATIONALE DES COMITÉS DE DÉFENSE DES MATERNITÉS ET HÔPITAUX DE PROXIMITÉ)
LE 24 NOVEMBRE 2009 à 20 h
Salle Polyvalente de Malemort
(DERRIÈRE LA MAIRIE)
(la municipalité de brive n'ayant aucune salle de libre, (dixit), un mardi soir ?!)
En présence de
Paul CESBRON
(MÉDECIN ET MEMBRE DE LA COORDINATION NATIONALE DES COMITÉS DE DÉFENSE DES MATERNITÉS ET HÔPITAUX DE PROXIMITÉ)
Un exemple de ce qui se cache derrière les coopérations sanitaires public-privé
Courriel adressé à la coordination le 23 Janvier 08
Vous êtes en recherche d'infos sur les restructurations des hôpitaux, en particulier sur les conséquences du partage des services entre un hôpital et une clinique privée.
En ma qualité d'ex animateur du Comité de défense de l'Hôpital public des Sables d'Olonne , en Vendée, je ne puis que vous inviter à venir enquêter sur les conséquences de la suppression des postes de chirurgiens du service de chirurgie de ce dernier et de la fermeture de 24 lits sur 48 qu'il comptait.
Depuis 2005, ce sont les chirurgiens de la Clinique privée (holding 3H ) qui interviennent au sein de l'hôpital. Suivant leur disponibilité.
Les patients se retrouvent de plus en plus nombreux dirigés vers la structure privée, avec toutes les conséquences qui en en découlent : dépassement d'honoraires et suppléments.
L'ARH a su imposer par les pressions multiples et chantages, la construction d'un pôle de santé où les deux structures publique et privée seront regroupées dans des bâtiments contigus, avec un plateau technique supposé commun.
Tous les lits de chirurgie seront alors attribués à la Clinique privée.
Avec ce tour de passe passe, la société privée va donc retrouver une structure neuve que l'on peut espérer performante sans débourser un centime!
L'acquisition des terrains et leur viabilité est assuré par la Communauté de commune du Pays des Olonnes, et cerise sur le gâteau, cette dernière a créé un GIE avec la Clinique privée pour assurer la construction de son établissement qui sera opérationnel en 2009 alors que l'Hôpital devra encore attendre 1 an 1/2 pour bénéficier de ses nouveaux locaux ( dont elle doit assurer seul le financement ). Autant dire que cette période sera mise à profit pour une main mise totale sur la chirurgie par les 3H!
Les élus des communes concernées ont allègrement approuvé ce projet, au frais des contribuables et accélérant de ce fait, une gestion de type privatif à l'hôpital et la casse accélérée du service public.
Pour la petite histoire, l'Hôpital public a été construit il y a environ 13 ans, et il n'est pas encore terminé de payer!
Si cela ne s'appelle pas du gâchis.........
Le financement du pôle de santé sera assuré en majorité par l'hôpital , l'ARH NE METTANT SUR LA TABLE qu'environ 20%, cet à dire l'équivalent de la TVA que l'Etat percevra sur le montant des investissements.
Voici ce qu'il me paraissait intéressant de porter à votre connaissance afin de mieux saisir le contexte et les retombées négatives pour les patients usagers.
Cet exemple illustre parfaitement, la politique menée depuis des décennies, tant par des gouvernements de gauche que de droite qui conduit à la restriction des soins pour les plus humbles.
N'oublions pas, aussi, toutes les franchises, les non remboursements de médicaments et le forfait hospitalier qui s'empilent.
Merci de votre attention
Cordialement
Bertrand Lavigne
source : COORDINATION NATIONALE DES COMITES DE DÉFENSE DES HÔPITAUX & MATERNITÉS DE PROXIMITÉ
Puis , pour ceux qui pensent que tout ça , c'est pas bien sérieux , 2 articles de André Grimaldi Chef du Service de diabétologie du groupe hospitalier Pitié
Salpêtrière (Paris) Hôpital : comment créer un marché qui n’existe pas et Traitement de choc pour tuer l’hôpital public avec Thomas Papo Chef du service de médecine interne,
coordinateur du pôle médecine de l’hôpital Bichat (Paris) et Paul Vernant Chef de service d’hématologie, coordinateur du pôle d’onco-hématologie (Pitié-Salpêtrière). .
Et pour ceux qui pensent qu'on y peut rien , que c'est déjà
fait , et à qui j'aurais tendance à dire "arréte de planquer ton refus de te bouger les fesses derriére de faux arguments!", je préfére renvoyer ces mots :
"Je sais désormais ce qui fait basculer dans le dérisoire et l’impossible avant même, pendant, bien sûr encore plus après qu’il ne soit prononcé face à la quintessence de l’horreur, Auschwitz, le plus jamais çà : le retour constant, quotidien, ininterrompu au « C’est comme çà ! » Impossible de dire à la fois plus jamais çà et c’est comme çà ! Car, ou bien le « c’est comme çà » crucifie, écartèle, écorche vif le plus jamais çà, ou bien le plus jamais çà dissout, tue par la mise à nu de son ridicule, à grands coups d’humour d’amour, le grossier, ordurier, « c’est comme çà » et personne n’y peut rien. "

"Je sais désormais ce qui fait basculer dans le dérisoire et l’impossible avant même, pendant, bien sûr encore plus après qu’il ne soit prononcé face à la quintessence de l’horreur, Auschwitz, le plus jamais çà : le retour constant, quotidien, ininterrompu au « C’est comme çà ! » Impossible de dire à la fois plus jamais çà et c’est comme çà ! Car, ou bien le « c’est comme çà » crucifie, écartèle, écorche vif le plus jamais çà, ou bien le plus jamais çà dissout, tue par la mise à nu de son ridicule, à grands coups d’humour d’amour, le grossier, ordurier, « c’est comme çà » et personne n’y peut rien. "